Par « capacité phytosanitaire nationale », on entend « l’aptitude des individus, organisations et systèmes d’un pays à s’acquitter efficacement et durablement des fonctions nécessaires pour protéger les végétaux et produits végétaux des organismes nuisibles et pour faciliter le commerce, conformément à la CIPV ».
L’Article IV de la CIPV fournit les dispositions générales sur l’organisation de la protection des végétaux pour permettre aux Parties contractantes d’atteindre l’objectif de la CIPV, à savoir « assurer une action commune et efficace afin de prévenir la dissémination et l’introduction d’organismes nuisibles aux végétaux et produits végétaux, et en vue de promouvoir l’adoption de mesures appropriées de lutte contre ces derniers ». L’exécution durable des fonctions d’une organisation de la protection des végétaux tient à de nombreux facteurs, notamment mais pas exclusivement :
La mise en œuvre de la CIPV vise à permettre aux ONPV de pourvoir de manière efficace et durable aux besoins de leur pays en matière de protection des végétaux et de leurs produits et de facilitation du commerce. Dans une telle situation, on s’attendrait à ce que :