Les voyages et les échanges internationaux n’ont jamais été aussi développés qu’aujourd’hui. Cette circulation des personnes et des biens à travers le monde s’accompagne d’une dissémination des organismes nuisibles qui constituent une menace pour les végétaux.
L’introduction d’organismes nuisibles entraîne chaque année des coûts considérables pour les gouvernements, les agriculteurs et les consommateurs. Lorsqu’une espèce nuisible est établie, il est souvent impossible de l’éradiquer et les moyens mis en oeuvre pour lutter contre ce type d’organisme représentent un pourcentage considérable du coût de fabrication des aliments.
La CIPV permet aux pays d’analyser les risques auxquels sont exposées leurs ressources végétales et d’avoir recours à des mesures basées sur des données scientifiques pour préserver leurs plantes cultivées et sauvages.
La CIPV est administrée par la Commission des mesures phytosanitaires (CMP; laquelle se réunit chaque année pour promouvoir la coopération et contribuer à la mise en œuvre des objectifs de la CIPV. La CMP s’attache notamment à :
Moyens à la disposition des parties contractantes pour la mise en œuvre de la CIPV :